Dans sa vie comme dans son œuvre, la musique de Liszt représente une lutte stylisée entre le bien et le mal, la lumière et les ténèbres. Son écriture, que l'on peut parfois qualifier de manichéenne, explore pourtant toutes les douleurs et les joies que peut connaître l'âme humaine et crée un lien indéfectible entre des sentiments très éloignés les uns des autres. La metanoia de Liszt : son chemin courageux vers la lumière et la sérénité, offre l'exemple touchant et libérateur d'un homme qui a assumé ses passions dévorantes et les a sublimées dans les œuvres qu'il a créées. Une lecture intime de l'âme de Liszt par la pianiste suisse Béatrice Berrut, enregistrée à Paris par Nicolas Bartholomée sur un piano Bösendorfer en avril 2016.
FRANZ LISZT
1. Après une lecture du Dante : Fantasia quasi Sonata S. 161/7 17:30 from, extrait de, von Les Années de pèlerinage, deuxième année : Italie, S. 161
2. Ballade no. 1 in D flat major S. 170 7:48 N°1 en ré bémol majeur ; Nr. 1 Des-dur
3. Ballade no. 2 in B minor S. 171 N°2 en si mineur ; Nr. 2 h-moll
4. Vallée d’Obermann S. 160/6 from, extrait de, von Les Années de pèlerinage, première année : Suisse, S. 160
Consolations S. 172
5. I. Andante con moto
6. II. Un poco più mosso
7. III. Lento placido
8. IV. Quasi adagio
9. V. Andantino
10. VI. Allegretto sempre cantabile