Liszt: "Athanor", Totentanz & Piano Concertos
Beatrice Berrut, Czech National Symphony Orchestra, Julien Masmondet
AP180 - 1CD - 70' - 27 avr. 2018

Athanor. Un nom mystérieux qui désigne, en alchimie, le fourneau à combustion prolongée qui permet de réaliser la pierre philosophale. Cette matrice, symbole de la quête d’absolu, représente métaphoriquement la démarche de Liszt.
Avec la patience de l’alchimiste qui cherche à parfaire la matière, le compositeur et pianiste virtuose a longuement mûri la genèse de ses deux concertos pour piano et de sa Totentanz : plus de 20 ans séparent les premières esquisses de leur publication.

Ces trois oeuvres majeures sont chacune traversées par un fil conducteur thématique puissamment envoutant, et mûes par une logique de transformation : la Totentanz utilise la forme thème et variations, tandis que dans dans les concertos, un thème unificateur nourrit tout le flux musical par ses métamorphoses.

La pianiste Beatrice Berrut, qui s’aventurait déjà sur les sentiers lisztiens dans son précédent disque, témoigne ici de l’invention infinie de Lizst : elle interprète le premier Concerto en intégrant les variantes notées par le compositeur lui-même sur l’exemplaire de son élève Hans von Bülow.

Cœur vibrant du disque, le poème symphonique Don Quichotte transforme les instruments en personnages, acteurs des aventures épiques du héros espagnol de Cervantès. Ainsi, Don Quichotte, incarné par le violoncelle, dialogue avec Sancho Panza (l’alto) ou Dulcinée (le violon) dans une luxuriante fresque orchestrale, tendre et sensuelle, pleine d’humour, où se déploie tout le génie mélodique du compositeur allemand.

L’expressivité délicieuse de Strauss brille jusque dans les pièces les plus intimes qui complètent ce programme. Le lyrisme solaire d’Ophélie Gaillard s’y accorde avec le piano dans la Romance et la Sonate en fa majeur, ou avec la voix dans les élans suaves de Morgen. Compagnon idéal, l’archet enchanteur de la violoncelliste offre les clés d’une musique simplement irrésistible.


Athanor. Un nom mystérieux qui désigne, en alchimie, le fourneau à combustion prolongée qui permet de réaliser la pierre philosophale. Cette matrice, symbole de la quête d’absolu, représente métaphoriquement la démarche de Liszt.
Avec la patience de l’alchimiste qui cherche à parfaire la matière, le compositeur et pianiste virtuose a longuement mûri la genèse de ses deux concertos pour piano et de sa Totentanz : plus de 20 ans séparent les premières esquisses de leur publication.

Ces trois oeuvres majeures sont chacune traversées par un fil conducteur thématique puissamment envoutant, et mûes par une logique de transformation : la Totentanz utilise la forme thème et variations, tandis que dans dans les concertos, un thème unificateur nourrit tout le flux musical par ses métamorphoses.

La pianiste Beatrice Berrut, qui s’aventurait déjà sur les sentiers lisztiens dans son précédent disque, témoigne ici de l’invention infinie de Lizst : elle interprète le premier Concerto en intégrant les variantes notées par le compositeur lui-même sur l’exemplaire de son élève Hans von Bülow.

Cœur vibrant du disque, le poème symphonique Don Quichotte transforme les instruments en personnages, acteurs des aventures épiques du héros espagnol de Cervantès. Ainsi, Don Quichotte, incarné par le violoncelle, dialogue avec Sancho Panza (l’alto) ou Dulcinée (le violon) dans une luxuriante fresque orchestrale, tendre et sensuelle, pleine d’humour, où se déploie tout le génie mélodique du compositeur allemand.

L’expressivité délicieuse de Strauss brille jusque dans les pièces les plus intimes qui complètent ce programme. Le lyrisme solaire d’Ophélie Gaillard s’y accorde avec le piano dans la Romance et la Sonate en fa majeur, ou avec la voix dans les élans suaves de Morgen. Compagnon idéal, l’archet enchanteur de la violoncelliste offre les clés d’une musique simplement irrésistible.

FRANZ LISZT

1. Totentanz. Paraphrase sur le Dies irae pour piano et orchestre S.126 

Concerto pour piano no 1 en mi bémol majeur S.124
2. Allegro maestoso
3. Quasi adagio
4. Allegretto vivace – Allegro animato
5. Allegro marziale animato

Concerto pour piano no 2 en la majeur S.125
6. Adagio sostenuto assai – Allegro agitato assai – Un poco più mosso – Tempo del andante
7. Allegro moderato
8. Allegro deciso – Marziale un poco meno allegro – Un poco meno mosso
9. Allegro animato

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